Le jour où je me suis aimé pour de vrai...

Publié le par Nathy LaBell

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris qu’en toutes circonstances,
J’étais à la bonne place, au bon moment.

Et, alors, j’ai pu me relaxer.


Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Estime de soi.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance
émotionnelle, n’était rien d’autre qu’un signal quand
je vais contre mes convictions.



Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Authenticité.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de vouloir une vie différente et
j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive,
contribue à ma croissance personnelle.



Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Maturité.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait
de forcer une situation, ou une personne, dans
le seul but d’obtenir ce que je veux,
sachant très bien que ni la personne ni moi-même
ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment…


Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Respect.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne
m’était pas salutaire … Personnes, situations,
tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.


Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Amour Propre.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et
j’ai arrêté de faire de grands plans,
j’ai abandonné les Méga-projets du futur.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct,
ce que j’aime, quand ça me plait et à mon rythme.



Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Simplicité.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison,
et me suis rendu compte de toutes les fois
où je me suis trompé.


Aujourd’hui j’ai découvert l’… Humilité.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai cessé de revivre le passé
et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui, je vis au présent,
là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois.



Et ça s’appelle… Plénitude.


Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
j’ai compris que ma tête pouvait me tromper
et me décevoir. Mais si je la mets au service
de mon coeur, elle devient un allié très précieux.


Tout ceci est…. Savoir Vivre.


Texte de Kim et Alison Mac Millen que l'on prête à Charlie Chaplin

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article